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Histoires de Culs

Histoires de sexes


 

Je suis son fantasme 


"Cette nuit, j'ai rêvé de toi Shayana, de ton corps ainsi que la chaleur qu'il dégageait... de la tendre et douce chaleur. Tu dormais avec moi, derrière moi, je sentais tes mains me caresser doucement, tendrement... Tu étais vêtue d'une nuisette, légère et transparente, laissant apparaitre tes superbes et désireuses courbes, ta chevelure brune alliée à la couleur de tes yeux verts si profond exalte ta beauté...

La sensation de bienêtre qui émanait de tes divines mains ne me rendirent point insensible. Ma queue grossissait, durcissait et se raidissait au fur à mesures que tes mains parcouraient mon ventre. Tu me susurres à l'oreille quelques mots, "chéri, je veux être ta poupée sexuelle ce soir, je suis tout à toi, j'ai envie de toi, de te sentir en moi... Baise-moi à ta convenance...". Tu es tellement chaude, je sens tout ton corps vibrer sous chaque passage de mes mains... Cuisses fermés mais cependant ouverte à ta caverne d'amour, tu te caresses, fait glisser ta main sur ta petite chatte, déjà moite et trempée de désir... Tu en ressors deux de tes doigts pour me montrer combien tu es très chienne docile cette nuit tout en te convulsant de plaisirs....
Ton clito est gonflé, rougi par tant envie de désir... Tu l'effleures à peine, laissant à ma charge cette action...

Tout en te laissant aller à ce début de douce luxure, je m’occupe de ta poitrine... Ma langue, mes lèvres parcourent chaque courbe de tes magnifiques seins. J'embrasse, titille, mordille tes tétons durcis par cette chaleur, qui t’habite et qui te rends follement désirable.. Tout en m’exécutant à ma tâche, je pris la décision de te prendre par les cheveux, te mettre en levrette... tu te laisses faire sans broncher... au contraire tu accentue ton désir d’être bien baiser, tu m'expose ta petite chatte tout coulante d'une huile épaisse mais ô combien suave et délicieuse... et bougeant ton cul pour me montrer le paroxysme de ton excitation...
Je t'attache les mains dans le dos, pour contenir tes excès de masturbation, car, j'aimerais que tu jouisses sous les coups de ma queue, de mes doigts et de ma langue...

Les mains dans le dos, c'est avec un malin plaisir que tu écartes tes superbes fesse pour laisser apparaitre ton anus, si rose et si délicat, avec pour accompagner cette vue, une chatte trempée, dégoulinante d'huile féminine... Je tends ma langue pour en récupérer la saveur douce, sucrée et amère de ton jus... Pour faire durer le plaisir que tu m'offres, je commence par ton petit trou du cul, je le lèche assidument, mais aussi tendrement. Je l'ouvre avec un doigt, le pénétrer lentement avec de doux va et vient... puis deux, tu cries ton plaisir, tu ne le renies en aucun cas et me demande d'en mettre un troisième pour combler ton désir d’être prise comme il se doit...
Il s’entrebâille à chacun de mes coups de langues tandis que, d'une main, je m'affaire a branler ce clito qui réclame son dû...ma langue s'affaire sur ce dernier... Je le masse entre eux de mes doigts, le titille et l'aspire, tout en aspirant aussi ta crème... tu te convulsionne une fois de plus, en gémissant de plus belle...
Tes gémissements se font plus fort, ta respiration haletante, tu sors ta langue, la fais parcourir le long des tes lèvres.... tu courbes l'échine devant tant de plaisirs offerts...

Après m’être occupé de ton cul,tu prends le relais en t'enfonçant deux doigts pour le garder bien ouvert, puis, je m'occupes de ce clito qui n'as cesse de réclamer mes caresses, ma langue, ma queue ... Cependant, je m'approche de ta divine bouche, tu es toujours en levrette, le cul bien ouvert, la chatte bien mouillée. Tu gobes avec un ardent désir, cette queue qui va te faire jouir, MA queue !! Tu me lèches tout d'abord mes couilles, les gobent, les lustrent, les aspirent...
Je te mets à genoux en tirant tes cheveux et présente ma queue devant ta bouche... tu te remets à me pomper comme une belle chienne, "tu aimes cela, je le vois dans tes yeux et l'expression sur ton visage..." dis-je en te regardant fixement dans les yeux... Ta langue parcoure ma queue sur toute sa longueur, tu joues avec sur mon gland, lui aussi violacé par le désir que tu m'apportes... Je baise ta bouche si douce, ta gorge si chaude...
J'enfonce ma queue au plus profond de te gorge... tu manques de t'étouffer mais cependant tu prépares la lubrification de ma queue avec ta salive coulant le long de celle-ci... Je fais de long va et vient, puis des rapides... "Dis-moi que tu aimes cela, dis-moi que tu aimes être baisé comme une chienne en chaleur !!" Tu me réponds par un silence.... tandis que tu t'affaire sur ma queue, comprenant que cela voulait dire oui...

Je te bouscule sur le lit... tu te trouves cuisses écartées, la chatte pantelante, tu n'as qu'une envie, celle de te faire prendre à ta juste valeur... J'approche mon gland sur ton clito, je le caresse, le frotte avec... Je plaque toute ma queue sur cette chatte qui n'en peut d'attendre, et qui pourtant devra attendre encore un peu...Je fais de doux va et vient sur ton clito, tout en faisant cela, je masse tes seins, pince et mordille tes tétons devenus durs de plaisirs et de douces sensations à la fois...
Je finis par rentrer violemment en toi, tu cries... tu cries comme jamais tu n'as crié... tu cries combien c'est bon de se faire baiser de la sorte. Tu exprimes avec des mots crus tels que : "Baise comme une salope... je suis TA petite salope... baise moi comme la chienne que je suis... donne-moi du plaisir toute la nuit...".

Tout en te pénétrant avec de rapides va et vient, je sens toute ton huile se déverser le long de ma queue... cette liqueur me redonne encore plus envie de te baiser plus fort, plus vite.... Je te fais partager cette liqueur qui est tienne en enfournant ma queue dans ta subtile bouche... de même que dans ta chatte, j'utilise ta bouche comme cette dernière... Puis retourne à m'occuper de ta chatte qui ne cesse de me demander de la baiser.... Juste par le fait de revenir dedans, tu mouilles de plus belle... Tu jouis bien.... Puis vient le moment de m'occuper de ton cul, je te remets en levrette et, avec trois doigts planté dans ta chatte pour en extraire le maximum de lubrifiant féminin, je m'affaire à lubrifier ce dernier... Tu gémis de plaisir en sentant la dilatation de ton cul, d''abord par ma langue, mes doigts et enfin ma queue...

Je présente ma queue dans la raie de ton cul puis fait de doux va et vient, tu aimes cela. Là, je m’arrête sur ton trou et force son ouverture... Surpris, il s'ouvre à moi avec douceur et légèreté... Tu pousses un long râle de plaisir, comme si cela venait du fond de ton ventre... se sentir remplie de la sorte. Tu sens la rigidité, la dureté, l'épaisseur mais aussi la douceur et la chaleur de ma queue en toi. Je fais de longs et profonds va et vient entre tes reins, je te serre la taille pour bien te pénétrer... Puis, J’accélère le mouvement de mes hanches, te plaque à genoux, moi derrière toi, mes mains sur ta poitrine si douce et ferme à la fois... J'accélère de plus en plus vite mon mouvement, nous tombons sur le côté... Toi une cuisse en l'air, et moi, ma queue te pénétrant de tout son long dans ton cul... nous abandonnant ainsi à une séance de luxure nocturne.... Je finis par jouir sur ton visage, étalant ma chaude crème épaisse, tu as les mains détachées, tu branle ma queue et te caresses le visage avec pour étaler tout mon foutre...

Tu me regardes en me lançant un regard conduisant à me demander : "si elle en veut encore, chuis partant oO ^^ " FIN"

 

 


Elle ma fait jouir , sans que je ne touche ma bitte


Son dialogue commencer toujours de la même maniéré, téléphone rose de shayana bonjour !

Et je lui répondais toujours la même chose, Thierry bonjour.

Ce soir-là, j’ai senti dans sa voix, que ce n’était pas pareil, ce que j’ai pris pour de l’antipathie, était tout simplement une autre Shayana .

Bloque ton téléphone dans l’épaule me dit-elle  sur un ton très sec, ce que je fis sans hésiter.

Caresse toi la nuque, le cou, le torse, je dois avouer que les 5 premières minutes de notre dialogue, j’ai exécuté aucun de ces ordres, je me suis empresser, de me branler comme un gros malade.

Je crois que je me suis fait prendre, car dans un ton que je ne connaissais pas de Shayana , elle me dit tu fais pas ce que je te dit ? Ne me dit pas oui, car tu mens …. Je suis resté bouche baie ….

Je suis rentré dans son jeu, j’ai tout de suite caressé mon corps comme si je caressais le sien.

Mon ventre, mon torse, le haut de mes cuisses, ce n’était plus moi, c’était nous. Elle ne parle pas, elle chuchote , je n’étais plus en train de me branler comme un gros malade , devant un film de cul , bien hard , j’étais en train de me caresser , j’étais en train de découvrir qu’il est bon de caresser une femme , ce que je ne fais pas , quand je m’envoi en l’air .

Elle reprend depuis le début, caresse toi la nuque, le cou, le torse, le ventre, ton bas ventre ….

Dans un rythme de plus en plus rapide, puis plus lent, plus rapide, plus lent … Tire la langue, mordille ta bouche … écarte bien t’es jambes …. Lorsque j’ai demandé à Shayana , si je pouvais écrire notre histoire , elle ma répondu que oui , mais uniquement en ne décrivant pas tous les gestes de mes caresses , secret professionnel a-t-elle répondu avec son petit gloutonnement quand elle rigole .

J’aime bien de temps en temps me faire plaisir via le téléphone rose, je dois dire que depuis le temps que je pratique, je n’ai  jamais eu un pareil dialogue.

Elle pratique l’art est la manière de la caresse.

Dommage que je ne  puisse pas tout cite, ma paume de main  le temps d’un dialogue était sa chatte, sa bouche, ces seins.

Je sens le rythme qui s’accélère, caresse toi, la nuque, le coup, le torse, le ventre …. NE TOUCHE PAS TON SEXE, fait ce que je te dis, à chaque fois elle insister sur cette phrase est toujours sur le même ton, déhanche toi, tire la langue, mordille ta bouche.

Les derniers mots était pour ma bitte, regarde la, elle est belle ? Oui ! Je lui réponds ….

OUI quoi ?

Oui, elle est belle ma bitte...

Dit le encore, elle est belle ma bitte, déhanche toi, caresse toi, tire la langue et ainsi de suite, jusqu’à ce que je jouis, sans me toucher la bitte .

 


Histoire de Lola la Nympho


Mes ex m’appelle la nympho, je suis toujours si mal baiser, que je ne pense plus qu’à ça.

Je passe une grande partis de mon temps sur le téléphone rose, ça me donne un prétexte pour me laisser allez à mes envies de sexe , mes pulsions de salope, les jambes entre ouverte, je suis à la recherche de ta langue, je rêve que tu me broute le minou, que tu déchire mon collant, que tu baise ma petite chatte.


Je n’ai pas honte de dire que je suis une salope, j’aime le sexe, les plans cul, il m’arrive même des fois de faire du charme à ma voisine, elle a l’air d’apprécier en tout cas.


La dernière fois que je lui es sonné pour me dépanner de je ne sais plus quoi, elle ma ouverte la porte en nuisette, je pouvais voir le bout de ces tétons pointer, mes yeux n’ont rien quitté de ce spectacle que m’offrais ma cochonne de voisine.


Devant mes yeux grand ouvert la voilà qui passe une main sur son seins, à ce moment-là dans son regard j’ai senti un message sexuel, je me suis approcher, mise sa nuisette sur le coter, puis j’ai glissé ma langue sur tout son seins. Elle commence à chercher ma langue, me dévore la bouche, j’ai compris que ma cochonne de voisine avais envie d’un petit gouter avant que son gros sac de mari ne franchisse la porte.


D’un geste brusque elle claque la porte, retire sa nuisette, je me retrouve Vitte à genoux devant elle à lui bouffer sa petite chatte toute poilue, je sens ces mains dans mes cheveux la salope frotte sa chatte toute mouillé, sur ma bouche toute existé.


Elle se colle dos au mur, écarte ces lèvres pour moi, me fait comprendre qu’elle veut sentir ma langue la pénétré, je lui bourre sa petite chatte avec la pointe de ma langue, je la fait quiné de plaisirs.


Je la retourne lui cambre sont petit cul de cochonne, elle retourne sa tête, me regarde, me dévore du regard, je suis debout derrière elle, je frotte son gros cul de salope contre ma chatte, je lui claque les fesses, lui glisse trois doigts dans la bouche en lui disant Suce salope.
Elle me supplie de la faire jouir !


A coter d’elle dans le couloir de l’entrée, elle ouvre le premier tiroir et sort un gode ceinture, que j’enfile sans hésitation.


Elle se met à genoux devant moi et commence à me sucer la bitte, le gode, de plus en plus Vitte , de plus en plus salope , je la sent presser subitement , elle se met à quatre pattes dans l’entrée , je la baise , la fait jouir , elle ce relève m’embrasse et referme la porte .

 


La premiére sodo de Marléne


 Bon, alors comment on fait ?

- Déjà faut du lubrifiant, t'en as ?

- Ah ouais, ouais, le truc qu'ils donnent avec les préservatifs de la mairie, là

- Ouais mais c'est du lubrifiant à l'eau ou pas ?

- Tu me poses de ces questions, toi, c'est marqué "lubrifiant" dessus, mais bon ils se doutent bien de l'utilisation qu'on va en faire, non ?

- Ben ouais mais si le préservatif craque ? - Tu risques pas d'être enceinte, hein... - Non c'est pas ça mais pour les maladies ?

- ... ouais ok, bon alors je lis la notice... putain ya pas de notice.

- En même temps c'est la mairie, ils vont pas mettre un truc incompatible

- Surtout vu qui il y a à la mairie, ils ont l'habitude

- Haha - Hehe - Bon, blague à part, on y va

- Attends, attends, ça s'utilise comment le lubrifiant ?

- Gné ? - Je veux dire, je l'étale comment ?

- Avec les mains, abruti

- Non mais... sur le sexe, sur le cul, sur les deux ?

- Hola, tu te poses trop de question, fous-en partout, on verra bien

- Chais pas, je demande, j'ai jamais utilisé de lubrifiant moi

- Remarque moi non plus. Mais je te dis, mets-en partout

- Mouais, t'as vu la minidose qu'ils nous ont foutu ? J'en prends trois d'un coup, tiens

- Vas-y, vas-y, dépêche-toi, je commence à avoir froid

- Ho, c'est toi qui avais balancé les couvertures, hein

- Ouais mais ça c'était avant, quand on baisait. Là je me pèle les tétons

- Ok, ok, bouge pas, j'étale. Putain c'est froid leur connerie

- T'as un préservatif, tu le ressens pas, le froid

- Tu déconnes ? Ca traverse la capote, ce froid

- Chochotte !

- Ah ouais ? Ben c'est à ton tour, tiens ! - Comment ça à mon... aaack !

- Ah ben ouais, là c'est les muqueuses directes

- Putain c'est froid leur connerie !

- C'est ce que je disais, remarque

- En même temps t'as toujours raison

- Content que tu t'en rendes compte. Bon donc maintenant on baise ?

- Ouais, mais vas-y doucement d'abord, hein

  - Bon désolé, ok je débande, mais en même temps c'est super froid leur connerie

- Tu veux que je te donne un coup de main ?

- T'es gentille mais je te sens moyen excitée sur le cornet miko là. Attends quelques secondes, ça va revenir

- Putain, le surhomme, sans les mains !

- Ca va, ça va... bon, c'est ok là. Mais ça reste froid

- Avoue, t'as pensé à quoi pour rebander aussi vite ?

- A rien - Nan mais nan, tu t'es imaginé un fantasme quelconque pour revenir comme ça, je connais tes techniques pour périodes réfractaires

- Mais attends, je me prépare pour une sodomie, niveau fantasme c'est déjà pas mal quand même non ?

- Ouais, ouais, je me méfie - Bon, on y va ?

- Ok, go ! Mais douuuuuucement.

 - Ca rentre pas

- Forcément, tu pousses pas

- Forcément, tu serres les fesses

- Bah pousse - Mais j'veux pas te faire mal, moi

- On s'en fout, putain, vas-y !

- Ok, ok, si c'est toi qui demande

- AIIIIIIIE ! - Je te l'avais dit

- Ouais mais je t'avais pas demandé de tout rentrer d'un coup comme ça !

- Tu déconnes, ya que le début

- Quoi ? Attends c'est trop bizarre comme impression

- Agréable ?

- Attends que je trouve une comparaison... t'as déjà été constipé ?

- Hola, si tu veux que je débande, continue comme ça

- Bah maintenant que tu en parles, ça serait peut-être moins douloureux

- Je fais quoi alors, je continue ou j'arrête ?

- Ya beaucoup qu'est rentré, là ?

- Euh... chais pas, la tête quoi.

- Bon, c'est le plus gros, donc

- Je continue alors ? - Ouais, continue.

Mais AIEUUUUH putain !

- Là j'y suis. Marrant, ça a cédé d'un coup

- "Marrant", c'est pas le mot que j'aurais choisi

- C'est excellent comme sensation, ça serre le milieu mais pas le bout

- Bon, moi ça me donne envie de chier

- Mais t'es romantique aujourd'hui, dis donc !

- Quitte à se faire enculer, tu me permets d'être grossière, hein... AIE !

- Ca va ? - Bordel, qui t'a dit de bouger ?

- Ben je sais pas, tant qu'à être au fond, autant bouger non ?

- Ouais mais bon niveau sensation c'est pas top - Tu veux que j'arrête ? - Je préfère, ouais, on réessaiera une autre fois - Ok - AIEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUH

- Ah, ça fait mal ?

- Mais évidemment que ça fait mal quand tu te retires d'un coup, abruti

- Je sais pas, je me suis dit qu'on allait faire quand on enlève un sparadrap

- Mais putain...

- Non parce que le sparadrap c'est mieux de l'arracher d'un coup

- C'est tes couilles que je vais arracher, bordel

- Bon, je balance la capote, je nettoie le désastre et on s'en tient au traditionnel ?

- Oui. S'il te plaît. S'il te plaît ..... 


Le petit plan cul de Linette , femme mariée de 48 ans ! 



Une femme mariée me dit, je suis encore rentré ce soir avec une terrible envie de baiser. Avant d’arriver chez moi, j’envoie un texto à mon mari, en lui disant (Chéri  j’ai retiré ma petite culotte en conduisant juste pour toi)...

Elle me précise qu’elle attend quelque instant dans la voiture en espérant un texto coquin en retour. Dix minutes son passé, elle décide de téléphoner à son mari pour voir si celui-ci a bien compris les désirs de sa femme.

Il décroche pas l’air motivé du tout, monsieur a passé une mauvaise journée ….

Le temps de faire quelque mètres et monsieur ronfler déjà sur le divan.

Les jours précèdent Linette avais rencontré un jeune homme sur un chat, il lui avait écrit sur MSN que quand elle voudrait elle pourrait sonner chez lui, juste pour boire un verre. Linette n’a pas pris sa a la légère, une petite douche, un petit coup de rasoir sur sa petite chatte poilue, une jupe bien moulante, des bas résilles, un petit haut bien ouvert ,elle précise qu’elle a une petite poitrine qu’elle aime portée des petit haut sans soutien-gorge .

Son sauveur et en ligne, elle lui envoie un petit message, j’ai envie de toi ……

Un signal sonore avertis Linette d’une réponse. Viens-lui dit-il. Trente minutes après Linette ce retrouve dans le salon, d’un jeune homme, en jogging, avec des tablettes à faire mouiller sa chatte.

Linette lui explique qu’elle n’a pas vraiment soif, mais qu’elle a surtout une terrible envie de se faire baiser. Il avait bien compris ce que Linette chercher ce soir, assis en face d’elle, il lui sourit est lui dit (Tu crois que  j’ai soif moi ?) il sort sa queue de son jogging d’un air vulgaire que Linette ne connaissais pas, lui fit un signe de venir le sucer.

Comme une petite chienne, Linette ce dirige a quatre pattes vers son jeune baiseur. Sa queue était déjà bien raide, Linette ce prend quelques coups de glands sur la bouche, il secoue sa grosse queue de gauche à droite pour qu’elle essaie de l’attraper, sa la bien existé me confie-t-elle.

Linette me dit : Je suis marié depuis 19 ans, j’aie toujours appelé mon mari Robert et lui Linette, mon amant m’a dit suce moi salope ….

Ça m’a excitée encore plus, je l’es vraiment sucer comme une petite chienne en chaleur, j’avais envie qu’il  baise ma bouche, qu’il face de moi sa pute. Un bruit de clef dans la porte , voilà le colocataire du jeune baiseur qui rentre , Linette ce redresse gênée d’une situation qu’elle ne connais pas , elle sent la douceur de la mains de son amant la retenir sur sa queue , le coloc dit : Jpeut regarder , l’amant pose une regard , qui poser la question a Linette , sans rien dire Linette continue de sucer la grosse queue de son amant .

Le coloc se met Vitte à l’aise à genou derrière Linette, il commence à chauffer sa  queue en se frottant  contre les grosses fesses de cette femme mature en manque de cul, de jeune bitte.

Il remonte la jupe de Linette, pour venir fouillée sa petite chatte toute lisse, elle précise que c’était beaucoup plus gênant que la visite chez le gynéco, aucun tact, un chien en chaleur ….

A ce moment la Linette précise qu’elle a mal à la chatte tellement elle a envie d’être prise. Son amant se déhancher de plus en plus Vitte dans sa bouche, pendant que le coloc lui  fessée les fesses avec  sa grosse queue, de plus en plus de petits coups de queue sur mes fesses, de plus en plus fort, avec cette phrase bouge ton cul cochonne, allez bouge ton cul cochonne ….. Hmmm !

Ouiiii ! Elle bouge, ce déhanche, elle sent la queue bien raide glisser sur chatte toute mouillée. Linette aura tout juste le temps d’être excitée que son téléphone sonne ….

Elle n’aura pas le temps de me  raconter la fin de son histoire, car  son mari rentre au même moment ….. Une suite un jour je l’espère....

Shayana


Le petit Zizi de Robert

 

Bonjour   je suis un petit cochon avec un petit truc entre les jambes,un gros ventre   énorme plein de graisse et des grosse entre-jambes (des jambons). Shayana m'a   demandé de vous envoyer ce message pour me présenter et de lui donner mon   mail afin de vous donner mes photos de mon petit machin qui pendouille entre   jambes. Étant puceau à 38 ans je me tripote en tant que petit cochon devant   des photos et des films de belles femmes. J'attends que des belles jeunes   filles moqueuses se moque de mon petit truc pour bien m'humilier. Alors voici   ce message avec les photos pour mettre tout le monde en courant comme étant   un petit cochon avec un petit truc entre les jambes et bien-sûr comme étant   un gros pervers qui n'a jamais touché de femmes et qui n'en touchera jamais   bref une petite bite.

Souvent,   en manque de femmes, je me met à quatre pattes, j’écarte bien mes fesses afin   de dilater mon anus et de grouiner très fort : le petit cochon est fou de   joie devant une belle photo de femme nue. Mon petit truc monte. Il y a une   sorte de petite bave bien dégueulasse au bout, de quoi repousser n'importe   quelle fille. Peu importe. En gros pervers que je suis, je me tripote devant   les photos et les films tout seul. Parfois je regarde ma grosse viande, mon   petit truc et mon anus dans le miroir pour changer un peu. Je coince ma   petite nouille et cela ressemble vaguement à un sexe de femme. Alors, devant   le miroir, avec une pose de femme comme dans les bouquins (jambes écartées et   fléchi sur les genoux), je me met un doigt dans le trou du cul. Là la petite   bave du petit cochon sort. Puis je me met à quatre pattes en tortillant du   cul (et la petite nouille, avec un reste de bave, tourne dans tous les sens)   et je lèche ce petit liquide de puceau, repoussant ainsi tous les filles de   la terre et je grouine très fort devant une belle photo de fille. Et je   grouine, grouine, grouine de plaisir et je suis en chaleur avec mon petit truc   légèrement tendu.
  Je vous envoie deux photos afin que vous pussiez bien rigoler et comprendre   pourquoi je n'ai jamais touché de femme et pourquoi je resterais toujours   puceau et que je me tripoterais toujours tout seul dans mon coin.

Merci   pour les prochains fous rires et humiliations des belles prochaines jeunes   filles.
  Le petit cochon.

 

Anne Archet "


« Je n’embrasserai jamais une femme » me dit-elle, un an avant que sa langue, alourdie par le drambuie, ne glisse entre mes lévres et sur mes dents.

« Je ne laisserai jamais une femme me caresser » me dit-elle, un an avant que je ne soupèse ses seins et pince ses mamelons sous son pull de laine.

« Je ne toucherai jamais le sexe d’une femme » me dit-elle, un an avant qu’elle ne fasse voler ma culotte à travers sa chambre.

« Je ne laisserai jamais une femme poser sa langue sur moi » me dit-elle, un an avant qu’elle ne me laisse goûter les sucs salins qui enduisaient ses lèvres vénériennes.

« D’accord, mais j’espère que tu ne t’attends pas à ce que je te rendes un jour la pareille » me dit-elle, un an avant que je ne caresse, entre mes cuisses, la cascade rousse et soyeuse de sa chevelure.

« Mon cul ? Pas question qu’une femme y touche ! Ni un homme, d’ailleurs : c’est trop sale » me dit-elle, un an avant d’agiter des hanches en soupirant pour que mon pouce fouille plus profondément son fondement.

« Range moi ce gode ceinture sur le champ. Je ne veux jamais plus entendre parler de ces trucs pervers de lesbienne dégénérée » me dit-elle, un an avant que je ne la besogne, le dos sanglant labouré par ses ongles fraîchement manucurés.

« Je ne cesserai jamais de t’aimer » me dit-elle, un an avant qu’elle ne parte avec la moitié des meubles de l’appartemenT    


Lettre à ma Maîtresse


Ma Maîtresse virtuelle" de Apargon "

M'exhiber devant la webcam m'excite. C'est une sensation nouvelle qu'à l'habitué. Surtout si une personne me mâte de l'autre côté.

Adepte de soumission soft, je n'ose imaginer ce qu'une Maîtresse me demanderait si elle me voyait à la webcam.

Comme tout soumis qui se respecte, je prépare au préalable, les jouets qu'elle exige.

J'allume la cam. Je me tiens debout devant elle encore habillé. Ce qui est frustrant, c'est qu'elle ne veuille pas à ce que je la vois. Il n'y a que moi qui ai le droit de se montrer.

A peine la webcam allumée, ma Maîtresse m'ordonna de mettre des pinces à linge à mes tétons. Ce que je fis sans attendre. Le fait de les mettre n'a pas apporté une douleur comme je l'imaginais. Je ne vais pas dire que c'était agréable mais on les sentait à peine.

Malgré le pull, les pinces à linge sont restées gentiment accrochées à mes tétons. Ca s'est corsé lorsque je dus retirer le pull. Les pinces à linge tirèrent sur les tétons quand elles suivirent le mouvement du pull vers le haut.

Ensuite, je dus baisser mon pantalon. Pour l'occasion, je devais porter comme sous-vêtement un string mauve de femme qui, je dois reconnaître, m'allait comme un charme.

Ma Maîtresse m'ordonna de prendre le gode en main et de le tapoter sur ma queue à travers le string. Chose qui ne m'apporta rien de stimulant. Je ne ressentais pas d'excitation en faisant ce geste.

Après ce court instant, j'écartais le string sur le côté pour libérer ma queue et la branla de vive allure. Je décalottais le gland et trempait mon sexe dans un verre rempli d'urine. J'y plongeais également mes doigts dans ce liquide encore tout chaud. Ma queue et mes doigts mouillés de ma pisse, je me repris à me branler à nouveau.

Pour corser le tout, je dus accrocher à mes couilles, des pinces à linge tout en continuant à me masturber. Chose plus douloureuse que sur les tétons. A ce stade, je me retrouve avec quatre pinces à linge. Deux accrochées à mes tétons et deux à mes couilles.

Ma maîtresse commença à me traiter de salope. Je suis sa petite pute bien obéissante. Elle m'ordonna de prendre la seringue et de la remplir avec de la pisse pour ensuite l'injecter dans l'urètre. Je n'osais pas au début par peur de me blesser. Je n'ai jamais fait cela auparavant. Mais pour ne pas contrarier ma Maîtresse, je m'exécutais. Le bout de la seringue entra dans l'urètre sans problème et sans douleur surtout. J'appuyais sur la seringue pour y injecter ma pisse jusqu'à débordement. Une douce sensation de chaleur m'envahissait. Ce fut agréable. Expérience que je suis prêt à refaire.

Et à nouveau, je branlais ma queue toute mouillée du liquide qui s'échappait de l'urètre. Tout en faisant les va et viens avec mon sexe, je suçais et léchais un gode avec délectation.

Un nouvel ordre de ma maîtresse se fit entendre :

"Ma petite salope, prends la seringue et injecte toi de la pisse dans ton cul et ensuite tu te fourres le gode dans le cul".

Je m'exécutais sans broncher. J'injectais le liquide puis m'enculais avec le gode. Ce qui fait que la pisse injectée ne pouvait pas sortir.

Enculé à fond avec un gode et de la pisse dans mon cul avec des pinces à linge sur mes couilles et mes tétons, je dus me branler une nouvelle fois. Puis je fis des va et viens avec le gode. Ce qui n'arrangeait pas les choses car à force de rentrer et de sortir le gode du cul, la pisse s'en échappa et coula le long de mes jambes. Ma Maîtresse lassée de cette scène, m'ordonna de sortir le gode et de le lécher. Ca sentait le cul mais il ne m'était pas pénible de le prendre en bouche pour le nettoyer avec ma langue.

Une fois le gode tout propre, je dus tirer sur les pinces à linge accrochées sur mes tétons jusqu'à ce qu'elles lâchent. Ca c'est douloureux. Il était encore plus douloureux lorsque je dus faire la même chose avec les pinces à linge accrochées aux couilles. Endroit plus sensible que mes tétons. Je faillis crier mais je pus contenir ma douleur.

Il est temps de conclure. Encore une fois, je branle ma queue à vive allure et gicle enfin dans le verre contenant le reste de l'urine.

Un dernier ordre de ma maîtresse :

"Et maintenant bois salope".

Eh oui! Je devais boire ce mélange de foutre et de pisse. J'obéis et vidais le verre à coup sec. On ne sentait pas le goût du sperme. Le goût salé de l'urine prit le dessus. N'empêche que par après, j'eus un picotement dans la gorge.

Ma maîtresse était satisfaite. Je lui ai obéi au doigt et à l'œil. Elle avoua même avoir joui.

Je pus m'endormir épanoui.

Votre dévoué Arpagon!


" Imprimé léopard " Fabien


J’avais envie de témoigner d’une expérience que j’ai vécu il y a quelques années maintenant.

Je suis célibataire, j’ai 40 ans, et me reste en mémoire vive et latente, une histoire d’amour passionnante et passionnée, avec une femme qui avait presque 2O ans de plus que moi !

Cela fut fabuleux comme elle m’apprit l’amour, à travers son expérience de femme mûre de la cinquantaine, alors que j’en avais la trentaine.

Aurore était une femme brune, grande, aux yeux noisettes, parfaitement bien conservée pour son âge, la peau lisse, très élégante et élancée.

Elle aimait arborer de jolis dessous, portait un parfum de luxe, et savait dicter ses désirs, par un simple regard, une expression.

Elle m’emmenait au lit avec tendresse, douceur, et aimait venir se blottir contre mon torse, me caresser, et m’embrasser goulûment !

Ses belles dents blanches que faisait ressortir un sourire très coquin, me provoquaient encore plus de désir.

Elle venait alors se planter sur mon sexe, se déhanchait pour imprimer un mouvement de va et vient très agréable, tout en me soutenant le regard de manière érotique ! Elle se penchait vers moi, cherchait ma langue, mélangeait la sienne de manière enfiévrée, se languissant de ces longs baisers mouillés et très sensuels.

Je voyais ses seins ballotter sous sa nuisette en imprimé léopard, véritable féline qui rugissait de plaisirs, bien empalée sur mon phallus, dressé comme jamais il ne l’avait été !

Ce qui l’excitait le plus, c’était d’atteindre un orgasme partagé, dans la position de la levrette. Elle se retournait alors, tout en me demandant : « tu veux ? », m’offrant son superbe postérieur, tellement bien moulé sous sa lingerie excitante.

Je l’as prenais alors d’un coup rapide et vif, car elle demandait cela, tout son corps se cambrait et attendait un coït complet, épanouissant.

Elle poussait des murmures languissants, bougeait de plus en plus vite, aimait à regarder par en dessous ses cuisses, ce mouvement rapide de mon sexe qui labourait sa chatte toute trempée, véritable rosée du matin, à toutes les heures de la journée…

Aurore me demandait alors de « venir » !

Cela voulait dire qu’elle allait jouir, une fois, deux fois, un doigt sur son clitoris, en plus, pour encore mieux se stimuler. Elle rosissait alors, son visage exprimait un désir fou, et une envie de jouissance absolue !

Je m’excitais encore plus, pour la rejoindre dans un ultime orgasme partagé, en simultané avec elle.

Elle adorait çà, elle le voulait : jouir avec moi, main dans la main, car je m’écroulait alors sur elle, nos paumes enserrées, et elle savourait ces instants privilégiés, ou ma semence éclaboussait en elle, chaude et apaisante !


Fabien de Vannes


 " Ta bouche qui ce veut vorace "


Veux tu sentir mon sexe en érection

Le faire devenir ton adoration

De tes mains qui lui fera l invasion

De chaque nervure en excitation

Le masser entre tes doigts polissons

Il se dardera en pleins frissons

Se luira jusqu'a l éjaculation

Mais avant tu veux le sublimer

De tes mains, tu désires le caresser

Du gland tu veux te délecter

Le prendre et le sucer

Le mordiller et le lécher

Lui donner mille suées

Le voir et le goûter dans ta bouche sucrée

Le faire frémir de ta langue, l épouser

Le parcourir sans aucun détour

Lui faire toi-même l’amour

Enrober de tes lèvres de velours

Jouer avec lui comme un secours

A sa tige qui se gonfle à chaque tour

De ta langue qui se bat dans ce glamour

Tu veux entre tes lèvres qui l 'entourent

Ne plus le lâcher avant qu'il ne demande grâce

Jouer avec lui sans qu’ il ne se lasse

De tes caresses qui lui fassent

Ne pas perdre la face

Et l' attendre sans qu' il ne le sache

Dans ta bouche qui se veut vorace


" Anne Archet " Noces de tôles


– Allo ?

– Madame Archet ?

– Elle-même.

– Bonsoir Madame, je me nomme Julie et je représente Revêtement d’aluminium Boisvert et fils, une compagnie qui oeuvre dans la région depuis plus de dix ans. Si vous pouvez m’accorder quelques minutes, je vais vous expliquer comment vous pourriez ne plus avoir à repeindre votre maison…

– C’est que je suis occupée en ce moment.

– Je vois. Voulez-vous que je vous rappelle plus tard ?

– Non, ça… va. Vous pouvez… continuer…

– Vous me semblez à bout de souffle… Avez-vous couru pour répondre au téléphone ?

– Non, je suis tout simplement… oh !

– Madame Archet ? Tout va bien ?

– Je vais bien… vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point je vais bien.

– J’entends des bruits… seriez-vous en train de manger ? Parce que si j’ai interrompu votre repas, je…

– C’est mon mari qui mange en ce moment.

– Dans ce cas, Madame Archet, je vais…

– Je t’en prie, Julie, appelle-moi Anne.

– D’accord, Anne. Je vais vous rappeler plus tard…

– En réalité, il lèche bien plus qu’il ne mange.

– Il lèche… ?

– Mes seins. Oh ! Oui ! Juste ici…

– Et si je vous rappelais demain soir, à la même heure ?

– Non ! Ne raccroche pas. Je t’en prie, écoute-moi…

– Je ne crois pas que je devrais…

– Que portes-tu en ce moment, Julie ?

– Moi ? Je ne sais pas si…

– Oui ! Lèche-moi !

– Je dois vraiment vous quitter.

– Dis-moi ce que tu portes, Julie.

– Des jeans et un T-shirt.

– Et tes sous-vêtements, Julie ?

– Bon, ça suffit. Je vais…

– Oui ! Oui ! Il lèche ma chatte maintenant ! Oh ! Julie ! Je peux voir sa langue laper ma fente !

– Pour vrai ?

– Juré craché. Oh ! Il taquine mon clito du bout de son pouce !

– Un string noir et un soutien-gorge demi-bonnets en dentelle.

– Quoi ?

– Ce que je porte. Les sous-vêtements.

– Tu es seule en ce moment, Julie ?

– Non, je suis au travail. Mon bureau est fait de cloisons mobiles et…

– … et tes collègues peuvent voir ce que tu fais…

– Non. Pas vraiment.

– C’est bien, c’est bien… oh oui ! Suce-moi bien !

– Oh mon dieu.

– Julie ?

– Oui ?

– Où est ta main ?

– Elle est… Hum…

– J’entends ta respiration Julie. Où est-elle ?

– Elle est… en bas… entre mes…

– Est-ce que c’est humide, entre tes…

– Oh oui.

– N’est-ce pas agréable, avoir ses doigts à cet endroit ?

– Mon dieu ! Oui. Qu’est-ce qu’il te fait, maintenant ?

– Il écarte mes cuisses, Julie. Il va me baiser, Julie. Je peux le lire dans ses yeux. Il se prépare à me fourrer comme une dinde de l’Action de grâces.

– Est-ce qu’il est… dur ?

– Julie ! Il est long et dur comme fer. Tu devrais le voir. Il est large comme une cannette de Guinness. Peux-tu imaginer un tel engin dans ton petit minou ?

– Oh mon dieu non…

– Que ce passe-t-il, Julie ?

– Je crois que je vais… jouir… dis-moi ce qu’il te fait.

– Il…

– Dis-moi, je t’en supplie. Tu dois le faire, je suis si près de…

– Son gland bute contre ma chatte, Julie. Dois-je le laisser me le mettre ?

– Oui ! Oui ! Laisse-le te bourrer ! Laisse-le glisser dans ta fente ! Oui !

– Oh ! Julie ! Il me…

– Ah ! je… Oh !

C’est à ce moment que je décidai de raccrocher. De la cuisine, j’entendis Simone, restée assise devant la télé, qui me demandait :

– Qui c’était ?

– Encore quelqu’un qui voulait nous vendre de la foutue tôle d’aluminium, répondis-je sur un ton blasé.


  " La petite bitte de moquez vous de moi "


Quand un homme croise une femme qui lui plaît, au point de le troubler, son rêve est, je pense, pour la plupart, de l'attirer à lui, de faire en sorte qu'elle l'admire, et pas seulement de se sentir attiré par elle et de l'admirer. Moi, quand je me sens fortement attiré par une femme, j'éprouve une envie bizarre : j'ai envie de me ridiculiser pour qu'elle se moque beaucoup de moi. Et l'idée de m'offrir à ses moqueries provoque alors l'érection de mon (tout petit) pénis.

Dans quelles conditions éprouve-je l'envie de me faire moquer de moi par une ou des femmes ? Je trouve ces femmes belles, d'une part et, d'autre part, leur manière de s'habiller et leur attitude provoquent mon trouble : elles sont habillées de pantalons sombres, ou de jupes longues très sombres (noir, bleu marine, marron...), sont parfumées de façon un rien provoquante, leurs regards trahissent une propension à la dérision, un sourire fleurit sur leur visage, quand elles sont plusieurs elles rient en plaisantant sur des hommes. Souvent, elles me paraissent aussi avoir un air autoritaire, ayant naturellement une attitude de chefe.

Qu'ai-je envie de faire, lorsque je croise des femmes aux moqueries desquelles j'ai envie de m'offrir ? A vrai dire, étant d'une grande timidité, et craignant, pour l’instant plus encore que je n’en ai envie, de subir les moqueries des femmes rien qu’en leur parlant, j'aurais envie, car cela non plus, je n'ai pas encore osé le faire, de leur remettre une lettre dans laquelle j'exposerai mon offrande à leurs moqueries. Et elles auraient le droit de se moquer ENORMEMENT de moi, TOUS mes sens étant sollicités.

- la VUE, de leurs pantalons et jupes, de leurs chemisiers et débardeurs, les vestes et pulls étant enlevés dans la pièce chaude où elles se moqueraient de moi. La vue, aussi, de leurs mouvements ironiques et provocateurs, de leurs fous rires, de leurs doigts pointés sur moi.

- l'audition, bien entendu, avec les éclats de rire des moqueuses, leurs plaisanteries bien humiliantes sur mon compte, les ordres de faire certains gestes qui me rendront chaque fois un peu plus ridicule

- le toucher, à travers le contact physique avec leurs pantalons et jupes, qu'elles s'amuseront, par provocation, à approcher des parties découvertes de mon corps pour le frôler , à travers aussi mes embrassades de leurs chaussures, bottines ou bottes, imposées comme une marque de ma réduction à l'état de soumis.

- le goût, dans la mesure où il me sera exigé de nettoyer, avec la langue, leurs chaussures sous les rires et les plaisanteries.

- l'odorat, élément très érogène chez moi lorsque j'imagine être moqué par des femmes. Elles s'amusent, outre à me faire sentir les parfums puissants qu'elles portent sur elles, à harceler mes narines du parfum de fleurs particulièrement odorantes, ou de fromages puants comme la France sait en produire. J'aurais envie de fuir, mais je ne peux pas, je suis leur prisonnier, et se moquer énormément de moi est leur divertissement de la journée, ou au moins de la demi-journée.

 

Toute cette sollicitation des sens par les moqueries féminines se passent dans un contexte où, tourné en ridicule dès le début de la rencontre avec cette ou ces femmes,

je me vois imposer des épreuves, évidemment perdues, mon échec suscitant les quolibets et les applaudissements. En sanction, je perds peu à peu mes habits, jusqu'à me retrouver en slip. Je perds ma dernière épreuve, obligé, du coup, de dévoiler ma nudité.

 

Mon pénis étant très petit, et ayant déjà lu des histoires dans lesquelles des femmes se moquaient d'hommes aux petits pénis, j'imagine comme normal que, surprises, ces femmes aient une réaction de stupéfaction, avant de partir d'un fou rire collectif, puis de faire "sentir", à mon sexe, pour se moquer de lui, les fleurs ou les fromages qui allaient désormais harceler alternativement mes narines et mon pénis.

 Bien sûr, pour profiter de moi nu, les femmes présentes rivalisent de plaisanteries et d'ordres donnés à moi, voire d'actes destinés à marquer extérieurement la moquerie subie (rasage du crâne, par exemple), destinés à ma faire comprendre combien profond est le mépris qu'elles me portent. Moi, définitivement troublé par ces belles moqueuses, j'en viens à bander devant elles.

 Ayant d'autres centres d'intérêt dans leurs vies que se moquer de moi,les femmes qui m'auront harcelé pendant des heures finissent par me quitter, après avoir joué avec mes habits, ne me les rendant qu'après s'être amusées à les cacher, et à se les lancer de l'une à l'autre, sans que je puisse les attraper.

 Je ne sais pas si j'oserais vivre une humiliation d’un tel niveau et aussi longue, moi qui n’ose déjà pas aborder une femme dans la rue, mais j'ai déjà éprouvé du plaisir à provoquer quelques moqueries chez des femmes que je connaissais déjà, et mon fantasme est né après que j'ai vu une prof en jupe longue bleu marine plaisanter d'un élève ayant fait une bêtise en classe.

 

Mais c’est avec ma maman que mon envie de moqueries féminines s’est réalisée la première fois. Si le fait que cela concerne ma mère, décédée depuis plusieurs années, ne vous choque pas trop, je vous enverrai une autre histoire. Mais, à cette époque, je n’avais pas intégré dans mon fantasme de me faire moquer par des femmes le fait d’avoir le crâne tondu, et ma maman n’a jamais éprouvé d’envie particulière pour me couper elle-même les cheveux.